Krach: Comment La BCE Et La FED Vous Ont Sauvés.

Vous êtes passés à deux doigts d’un krach boursier cette semaine. Il s’en est fallu de peu que les indices plongent et sans l’intervention de la BCE et de la FED, le krach était assuré. En cause ? L’inflation. Ce que j’annonçais depuis plusieurs mois est maintenant visible de tous : les prix à la consommation ont augmenté de 4,2 % sur un an aux Etats-Unis (plus forte hausse depuis 2008), de 1,6 % en Europe et de 2 % en Allemagne. Dans cette vidéo, je vous explique comment la BCE et de la FED ont sauvé les marchés…. Et pourquoi ça ne va peut-être pas durer.

Source

https://www.tradingsat.com/cac-40-FR0003500008/actualites/cac-40-la-bce-et-la-fed-volent-a-la-rescousse-des-marches-mondiaux-968555.html

https://www.capital.fr/entreprises-marches/linflation-flambe-et-ce-nest-pas-fini-un-krach-guette-la-bourse-1403251

Un commentaire

  1. Si la masse monétaire croît en même temps que le PIB de la zone monétaire diminue, à long terme la loi du marché s’impose. Ou alors il faudrait progressivement assécher le marché des liquidités, par exemple en augmentant le taux de réserve bancaire pour rapatrier de la monnaie scripturale. Mais la tendance est à l’inverse puisque les Etats cherchent à éliminer la monnaie fiduciaire du circuit financier ! Etant donné que la monnaie n’est pas une richesse pour elle-même en produire ne rapporte rien, si ce n’est de l’inflation. Cela doit rester une mesure exceptionnelle de dépannage et ne pas devenir une politique monétaire.

    Après avoir joué les père Noël, les banques centrales doivent assumer leur rôle de père fouettard, faute de quoi le retour de bâton sera extrêmement brutal pour la population (hormis pour les ultra riches qui se seront dépêchés d’investir dans des valeurs non boursières, ce qui va encore alimenter l’inflation par l’accroissement de la demande). S’il n’y a pas de hausse d’intérêts, le méga-crash est programmé. Difficile période que celle à venir, avec une hausse des taux d’intérêts qui accompagneront et accentueront le ralentissement d’une économie qui ne tourne déjà pas au mieux.

    Il aurait suffi qu’on n’assèche pas le système de santé occidental et cette « grosse grippe » serait passée presque aussi inaperçue que toutes les autres. Mais voilà, les 300 milliards économisés sur le dos des systèmes de santé nous auront finalement coûté plus de 4’000 milliards et poussent nos économies dans les cordes.

    La matrice est en nous !

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