L’attentat tragique survenu à Moscou, revendiqué par Daesh, continue de susciter des réactions exacerbées, jetant une lumière crue sur les relations déjà tendues entre la Russie et les puissances occidentales. Sergueï Choïgou, ministre russe de la Défense, pointe du doigt les services secrets ukrainiens et va jusqu’à évoquer la possible implication des services spéciaux français, alimentant ainsi les suspicions et les rivalités entre les nations.
Le 22 mars, des assaillants armés ont semé la terreur dans une salle de concert moscovite, entraînant la mort de 144 personnes et blessant 360 autres. L’attaque, d’une violence inouïe, a été immédiatement revendiquée par l’organisation terroriste Daesh, plongeant la capitale russe dans l’effroi et l’indignation. Cette tragédie a également fourni une tribune pour l’accroissement des tensions géopolitiques, exacerbées par les déclarations incendiaires des responsables russes.
Dans un entretien téléphonique entre Sergueï Choïgou et Sébastien Lecornu, ministre français des Armées, des propos chargés de suspicion ont émergé de la part du premier. Choïgou a évoqué la possible implication des services secrets français dans l’attentat, exprimant ainsi les craintes russes d’une manipulation occidentale orchestrée depuis Kiev. Cette insinuation a été accompagnée d’une mise en garde implicite quant aux conséquences d’une telle implication, soulignant que cela « créera des problèmes pour la France elle-même ».
Les réponses de Paris à ces allégations ont été immédiates et catégoriques. Lecornu et ses homologues français ont fermement nié toute implication dans l’attaque de Moscou, soulignant plutôt leur disponibilité à renforcer la coopération dans la lutte contre le terrorisme, comme affirmé lors de l’entretien. Cependant, ces démentis n’ont pas suffi à apaiser les tensions, jetant un voile d’incertitude sur les relations franco-russes déjà fragiles.
En parallèle de ces échanges diplomatiques, les autorités russes ont réitéré leurs accusations contre l’Ukraine et les puissances occidentales, dénonçant une coordination visant à déstabiliser la région. Le Kremlin a souligné la responsabilité supposée des « islamistes radicaux », tout en pointant du doigt une implication ukrainienne orchestrée par les Occidentaux. Ces allégations s’inscrivent dans un contexte de tensions persistantes entre la Russie et l’Occident, exacerbées par les crises régionales et les rivalités géopolitiques.
Cet épisode souligne une fois de plus les profondes divisions qui traversent la scène politique internationale, alimentant les suspicions et les rivalités entre les grandes puissances. Dans ce contexte, les théories du complot et les accusations infondées risquent de compromettre davantage les efforts de coopération et de dialogue entre les nations. Face à des défis sécuritaires et géopolitiques croissants, il est impératif de privilégier la diplomatie et le dialogue pour prévenir de nouvelles escalades et promouvoir la stabilité régionale et mondiale.
En conclusion, l’attentat de Moscou et les réactions qui ont suivi mettent en lumière les tensions géopolitiques persistantes entre la Russie et l’Occident, exacerbées par des accusations mutuelles et des suspicions infondées. Dans un contexte de crises régionales et de rivalités stratégiques, il est essentiel de favoriser le dialogue et la coopération pour surmonter les divisions et promouvoir la sécurité et la stabilité internationales.
Que les pays « occidentaux » comme l’Angleterre, la France, et les USA aient aidé ces terroristes est plus que probable! On connait les liens que OBAMA avait avec les organisations intégristes islamistes.
Il n’a échappé à personne que les assassins ont fuit vers l’Ouest et la France se trouvait dans leur trajectoire. Enfin, la haine opiniâtre de Macron contre les Russes est renforcée par son désir de camoufler les bilans catastrophiques de ses actions économiques, politiques, et contre la démocratie en faisant passer ses lois dictatoriales.