Chers lecteurs,
C’est avec une pointe d’amusement que je m’adresse à vous aujourd’hui, face à la dernière lubie gouvernementale de vouloir interdire le Black Friday. Apparemment, nos décideurs semblent penser que c’est à eux de choisir ce que nous devrions acheter et quand. Quelle excellente idée, n’est-ce pas?
L’économie, dans toute sa sagesse, fonctionne sur le principe de l’offre et de la demande. Le Black Friday n’est rien d’autre qu’un pic saisonnier de consommation, stimulant la production, créant des emplois temporaires et, soyons honnêtes, faisant tourner la machine économique. Mais non, certains esprits éclairés pensent qu’il faut intervenir pour protéger le peuple de lui-même.
Si l’on suit cette logique interventionniste, pourquoi ne pas bannir toutes les promotions et les soldes? Après tout, c’est une incitation à la surconsommation, n’est-ce pas? Oh, attendez, j’entends déjà les défenseurs de la décroissance applaudir.
Maintenant, parlons des risques économiques. Interdire le Black Friday revient à priver les entreprises de revenus essentiels, mettant en danger des emplois et ralentissant la machine économique. Est-ce vraiment cela que nous voulons? Une économie à la traîne, simplement pour satisfaire une vision étriquée de la décroissance?
C’est sans compter sur la créativité des consommateurs qui trouveront d’autres moyens de dépenser leur argent, rendant cette interdiction aussi inefficace qu’une épuisette pour arrêter un tsunami. Soyons réalistes, les gens dépenseront, avec ou sans Black Friday. L’État n’a pas besoin d’être le parent sévère qui dit quand et comment nous devrions ouvrir nos portefeuilles.
Alors, la prochaine fois que vous entendrez parler de l’interdiction du Black Friday, rappelez-vous que la liberté de choisir ce que nous achetons et quand nous le faisons est un principe fondamental d’une société prospère. La décision individuelle prime sur l’intervention étatique, et c’est ainsi que l’économie prospère, sans besoin d’un gouvernement surprotecteur.
Sur ce, bon shopping, mes amis!
La question du jour: Pensez-vous que le Black Friday devrait être interdit pour lutter contre la surconsommation?
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