Maintenant, Les Scientifiques l’Affirment: la RESPIRATION Est Mauvaise Pour le Climat

Depuis des décennies, la communauté scientifique s’est efforcée de comprendre les multiples facettes du changement climatique et de ses sources potentielles. Traditionnellement, les activités humaines telles que la combustion de combustibles fossiles et la déforestation ont été au centre des préoccupations. Cependant, une étude récente dirigée par le Dr Nicholas Cowan, physicien de l’atmosphère au Centre britannique d’écologie et d’hydrologie d’Édimbourg, met en lumière un aspect surprenant et méconnu de notre impact sur l’environnement : la respiration humaine. VOUS êtes responsables du changement climatique !

Les Gaz Méconnus dans notre Haleine

Les chercheurs révèlent que notre respiration quotidienne contribue de manière significative aux émissions de gaz à effet de serre. En effet, le dioxyde de carbone (CO2) que nous expirons représente environ 4% des émissions de gaz à effet de serre au Royaume-Uni. De plus, notre haleine contient deux gaz à effet de serre particulièrement puissants, le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), qui sont émis à des concentrations élevées. Ces gaz, également présents dans les émissions du bétail, contribuent au réchauffement climatique de manière significative.

Une Contribution Inattendue au Réchauffement Climatique

L’étude souligne que les gaz expirés par les humains représentent jusqu’à 0,1 % des émissions totales de gaz à effet de serre au Royaume-Uni. Cette constatation met en lumière l’importance de considérer toutes les sources d’émissions, même celles que l’on pourrait considérer comme naturelles ou négligeables. En outre, il convient de noter que cette estimation ne prend pas en compte d’autres voies d’émissions, telles que les rots, les pets, ou même les émissions de la peau humaine. (J’essaye de conserver mon sérieux et mon impartialité pour vous parler de cette étude… mais ce n’est pas facile).

Composition de l’Haleine Humaine

L’air expiré par les poumons humains se compose principalement d’azote (78%), suivi d’oxygène (17%), de dioxyde de carbone (4%), et d’autres gaz, notamment le méthane (CH4) et le protoxyde d’azote (N2O), qui représentent environ 1% de la composition. Il est essentiel de noter que bien que l’air expiré contienne de l’oxygène, sa concentration est légèrement inférieure à celle de l’air inhalé.

Les Appels à la Prudence

Les chercheurs, dirigés par le Dr Cowan, appellent à la prudence dans l’interprétation de l’impact potentiel des émissions humaines sur le changement climatique. Ils soulignent que les concentrations élevées de méthane et d’oxyde nitreux dans l’haleine humaine contribuent effectivement au réchauffement climatique. Cette découverte remet en question l’idée préalable que les émissions humaines sont négligeables et invite à une réévaluation de notre compréhension des sources d’émissions de gaz à effet de serre.

Comprendre le Processus Respiratoire

Un rappel des leçons de sciences à l’école nous ramène à la compréhension fondamentale du processus respiratoire humain. Lorsque nous respirons, nous inhalons de l’oxygène, qui est ensuite transporté vers le sang, tandis que le dioxyde de carbone résiduel se déplace du sang vers les poumons et est expiré. Si ce processus est essentiel à la survie humaine, il génère également des émissions qui contribuent au changement climatique.

Comparaison avec le Rôle des Plantes

En contraste avec la respiration humaine, les plantes effectuent un processus inverse appelé photosynthèse. Elles utilisent le dioxyde de carbone (CO2) pour produire de l’oxygène comme sous-produit. Cette différence met en lumière le rôle crucial des plantes dans l’équilibre de la composition atmosphérique. Alors que les plantes agissent comme des filtres naturels, les humains, d’un autre côté, contribuent activement à l’augmentation des concentrations de gaz à effet de serre.

Implications pour la Sensibilisation Environnementale

Cette découverte inattendue souligne l’importance de sensibiliser le public aux diverses façons dont nos comportements quotidiens peuvent contribuer au changement climatique. Les campagnes axées sur la réduction de la consommation de viande et la promotion des modes de transport durables ne doivent pas ignorer l’impact significatif de la respiration humaine. Cela ne suggère pas nécessairement de réduire notre respiration, mais plutôt de promouvoir une compréhension globale de la complexité des émissions humaines.

Solutions Possibles

Bien que la réduction de la respiration ne soit pas une solution viable (sic), d’autres actions peuvent être entreprises pour minimiser notre impact sur l’environnement. Investir dans des technologies de capture du carbone et encourager des pratiques agricoles durables peuvent contribuer à compenser l’impact de la respiration humaine.

Conclusion

En conclusion, la découverte selon laquelle la respiration humaine contribue aux émissions de gaz à effet de serre suscite des questions importantes quant à la manière dont nous comprenons et abordons le changement climatique. Alors que la réduction des émissions provenant de sources humaines demeure une priorité, il est essentiel d’adopter une approche holistique qui englobe toutes les contributions, même celles apparemment insignifiantes. En élargissant notre compréhension des sources d’émissions, nous sommes mieux équipés pour élaborer des solutions efficaces et durables face aux défis environnementaux qui se présentent à nous.

Source

https://www.dailymail.co.uk/sciencetech/article-12859057/Now-scientists-say-BREATHING-bad-environment-Gases-exhale-contribute-0-1-UKs-greenhouse-gas-emissions.html

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