Chers lecteurs, aujourd’hui, je vais vous conter une histoire digne d’un roman à suspense, une tragédie numérique qui met en scène l’oiseau bleu préféré de tous : Twitter. Attachez vos ceintures et préparez-vous à être plongés au cœur d’un conflit entre liberté d’expression et lutte contre la désinformation.
Tout a commencé lorsque l’Union européenne a décidé d’imposer des règles strictes contre la « désinformation » en ligne. Pas de problème pour certains géants du web tels que Meta, Google, Microsoft ou encore TikTok, qui ont bravement signé le code de « bonnes pratiques » de l’UE. Mais voilà, notre cher Twitter a décidé de voler de ses propres ailes et de quitter le navire. Une décision audacieuse, mais risquée.
Selon le ministre français délégué au numérique, Jean-Noël Barrot, Twitter risque d’être banni de l’Union européenne s’il ne se conforme pas aux nouvelles règles. Eh oui, le petit oiseau bleu ne sera plus le bienvenu dans nos contrées si ses tweets ne sont pas en accord avec la « lutte contre la désinformation ». Autant dire que c’est une véritable tragédie pour les amateurs de gazouillis en 280 caractères.
Mais ne vous inquiétez pas, Twitter est confiant. Il pense pouvoir se substituer aux nouvelles règles européennes et faire cavalier seul. Après tout, qui a besoin de règles bonnes pratiques quand on a la liberté d’expression comme boussole ? Cependant, les amendes pouvant atteindre jusqu’à 6% de leur chiffre d’affaires, soit 300 millions d’euros pour Twitter, pourraient sérieusement ébranler ses convictions.
Jean-Noël Barrot, fidèle gardien des valeurs démocratiques (et ministre de notre vénéré président), insiste sur l’importance de lutter contre la « désinformation ». Selon lui, Twitter ne doit pas se laisser prendre en otage par les partisans de la désinformation. Car oui, mes chers lecteurs, dans ce combat épique entre le bien et le mal, la « désinformation » est la menace qui plane sur notre démocratie. Et l’Etat est là pour nous dire ce qui est une désinformation et ce qui est vraie. On se croirait presque dans un blockbuster hollywoodien.
La situation est d’autant plus tendue depuis le rachat de Twitter par le milliardaire excentrique Elon Musk. Les langues se délient et les rumeurs vont bon train. On dit que Musk aurait assoupli la modération des contenus « problématiques » et donné une tribune aux « propagateurs de désinformation » sur la plateforme. Qui aurait cru que les tweets d’un milliardaire puissent avoir un tel impact sur le monde ?
Voilà, chers lecteurs, l’histoire fascinante qui se déroule sous nos yeux. Twitter, ce symbole de liberté d’expression, se retrouve au cœur d’une bataille entre la lutte contre la « désinformation » et la défense de cette liberté. Qui sortira vainqueur de cette lutte titanesque ? L’avenir nous le dira, mais une chose est sûre : l’oiseau bleu ne cesse jamais de nous surprendre.
Et vous, chers lecteurs, quel camp choisissez-vous ? Êtes-vous prêts à sacrifier certaines libertés pour éradiquer la « désinformation », ou préférez-vous vous envoler avec Twitter vers des horizons plus libres et tumultueux ? À vous de décider, en attendant le dénouement de cette chronique de la désinformation.
