Dans un revirement surprenant, les découvertes récentes remettent en question certaines des prédictions inquiétantes faites par les alarmistes climatiques concernant le sort des îles basses en raison de la montée des niveaux de la mer. Contrairement au récit de disparition imminente propagé par certains, des recherches menées par des scientifiques chinois révèlent une augmentation remarquable de la superficie des terres sur 13 000 îles dans le monde au cours des deux dernières décennies.
L’étude, tirant parti à la fois des enregistrements de surface et satellites, dévoile une expansion significative d’environ 369,67 kilomètres carrés, équivalent à la superficie de l’île de Wight. Ce qui est particulièrement frappant, c’est que tandis que les années 1990 ont vu une perte nette de terres, les trois décennies suivantes ont été marquées par une nette augmentation de 157,21 kilomètres carrés. Ces données, minutieusement analysées par les scientifiques, soulignent la nature dynamique des paysages côtiers, marqués par des fluctuations dans l’érosion et l’accrétion.
L’une des implications les plus cruciales de ces découvertes est la réfutation des assertions alarmistes liant la montée des niveaux de la mer, supposément causée par la dépendance humaine aux hydrocarbures, à la disparition imminente de nombreuses îles. De telles affirmations, souvent utilisées comme tactiques de peur pour rallier un soutien à des mesures politiques drastiques telles que les initiatives de Neutralité carbone, sont remises en question par les preuves empiriques présentées dans cette étude.
Selon les chercheurs, bien que la montée du niveau de la mer puisse contribuer à l’érosion des rivages dans une certaine mesure, ce n’est pas le facteur prédominant conduisant aux changements observés. Cette révélation remet en question le récit dominant perpétué par les hystériques climatiques dans les médias grand public et la politique, qui souvent négligent les découvertes scientifiques nuancées au profit d’un alarmisme sensationnaliste.
Par exemple, malgré les affirmations sensationnalistes suggérant la disparition imminente des îles du Pacifique comme Tuvalu, des études récentes indiquent le contraire. En fait, la recherche révèle une augmentation notable de la superficie des terres sur les 101 îles composant Tuvalu, défiant les prédictions de leur submersion inévitable. De même, un examen exhaustif de 30 atolls du Pacifique et de l’océan Indien avec 709 îles démontre une résilience remarquable, aucune n’ayant subi de perte nette de terres.
Même des cas emblématiques comme les Maldives, depuis longtemps présentés comme emblématiques des périls de la montée des eaux, ont connu une augmentation de leur superficie terrestre au cours des dernières années. D’autres régions, y compris l’archipel indonésien et les îles le long de la côte de la péninsule indochinoise, ont connu des tendances similaires, remettant davantage en question les récits alarmistes.
Les chercheurs attribuent ces découvertes surprenantes à une myriade de facteurs influençant la dynamique des rivages, allant des phénomènes naturels comme les marées et les vents aux activités humaines telles que l’aquaculture et la remblayage. En effet, l’intervention humaine, bien qu’elle puisse altérer les paysages côtiers, ne conduit pas nécessairement aux résultats catastrophiques souvent prédits par les alarmistes.
À la lumière de ces découvertes, il devient évident que le récit de la disparition des îles en raison du changement climatique induit par l’homme est loin d’être concluant. Au contraire, la recherche met en évidence l’interaction complexe de facteurs naturels et anthropiques façonnant les paysages côtiers. En fournissant une compréhension plus nuancée de ces dynamiques, l’étude remet en question l’hystérie climatique prédominante et appelle à une approche plus fondée sur des preuves du discours environnemental.
Source:
https://www.tandfonline.com/doi/full/10.1080/17538947.2024.2329816
