Alors maintenant, on en est là. Plus d’eau dans le gaz, mais des gaz dans l’eau! La guerre en Ukraine a même réussi à perturber notre petite bulle de bonheur gazeuse. Qui aurait cru que nos moments de plaisir et de rafraîchissement seraient liés aux tensions géopolitiques internationales?
Et puis, si l’on veut y réfléchir un peu, l’eau gazeuse est-elle vraiment un besoin essentiel? Bien sûr, elle peut être utile pour diluer un verre de pastis, mais quand même. Si on doit faire face à une pénurie d’eau, je pense qu’on peut se contenter d’une version plate. Et puis, il y a tellement d’autres boissons qui peuvent nous rafraîchir, comme le jus de fruit, le thé glacé, ou même l’eau du robinet. Et si on est vraiment désespéré, il y a toujours la bonne vieille bière belge.
En fin de compte, cette crise de l’eau gazeuse devrait nous inciter à réfléchir à nos habitudes de consommation et à notre dépendance aux produits importés. Peut-être qu’il est temps de se tourner vers des alternatives plus locales et plus durables. Et qui sait, peut-être que cette crise nous donnera l’occasion de découvrir de nouveaux goûts et de nouveaux plaisirs.
