Dans la frénésie actuelle de « l’écologie à tout prix », la voiture électrique est devenue la coqueluche des gouvernements et des défenseurs de l’environnement. Mais derrière le vernis de la « mobilité verte », se cache une réalité beaucoup moins idyllique.
Tout d’abord, parlons du soi-disant aspect écologique des voitures électriques. Les gouvernements se vantent de réduire les émissions de gaz à effet de serre en encourageant le passage à la voiture électrique, mais cela ressemble plus à un coup de publicité qu’à une solution réelle. La fabrication des batteries nécessaires aux véhicules électriques génère une empreinte carbone considérable, sans parler de l’extraction des métaux rares utilisés dans ces batteries, souvent dans des conditions environnementales déplorables.
Ensuite, il y a la question de la source d’énergie utilisée pour recharger ces voitures. Si l’électricité provient principalement de sources fossiles, le bénéfice environnemental des voitures électriques est grandement compromis. Les gouvernements font rarement preuve de transparence sur l’origine de l’électricité utilisée, créant ainsi une illusion d’écologie.
En matière de fausse écologie, la voiture électrique est souvent perçue comme une panacée par les gouvernements, une excuse facile pour imposer des politiques restrictives au nom de l’environnement. Des incitations fiscales aux interdictions de vente de voitures à essence, l’État se fait le champion de la « mobilité verte », sans se soucier véritablement des conséquences.
Le marché, dans toute sa sagesse, devrait guider naturellement l’adoption de technologies plus respectueuses de l’environnement. Cependant, l’intervention gouvernementale crée souvent des distorsions artificielles. Les incitations financières massives pour l’achat de voitures électriques sont un exemple frappant. Plutôt que de laisser les consommateurs choisir la meilleure option pour eux-mêmes, l’État utilise l’argent des contribuables pour favoriser une technologie qui pourrait très bien ne pas être la plus durable à long terme.
Le problème est également exacerbé par le besoin constant de subventions pour soutenir l’industrie de la voiture électrique. Si une technologie est vraiment l’avenir, elle devrait pouvoir survivre sans l’aide financière constante de l’État. L’économie de marché est conçue pour éliminer les inefficacités et promouvoir les solutions les plus efficaces.
Une autre couche de cette « fausse écologie » réside dans la question de l’obsolescence programmée. Les batteries des voitures électriques ont une durée de vie limitée, et leur remplacement est coûteux et complexe. Cela soulève des questions sur la durabilité réelle de ces véhicules et sur la gestion des déchets liés à la technologie des batteries.
En fin de compte, la voiture électrique semble être plus une tentative des gouvernements de se conformer à l’agenda écologique mondial qu’une véritable solution aux problèmes environnementaux. Les politiciens veulent être vus comme des défenseurs de l’environnement sans vraiment s’attaquer aux causes profondes des émissions de gaz à effet de serre.
Les économistes libertariens plaident pour une approche plus pragmatique et centrée sur le marché. Plutôt que de favoriser une technologie spécifique, il serait plus efficace de créer un environnement propice à l’innovation. Des incitations à la recherche et au développement dans le domaine des énergies renouvelables et des technologies plus propres pourraient conduire à des solutions vraiment durables.
En conclusion, la promotion de la voiture électrique comme la panacée de l’écologie par les gouvernements semble plus être une opération de relations publiques qu’une solution sérieuse. Les économistes libertariens mettent en garde contre les dangers de la « fausse écologie » qui peut découler de l’intervention gouvernementale excessive. Plutôt que de dicter les choix des consommateurs, laissons le marché guider naturellement la transition vers des solutions plus respectueuses de l’environnement. #MobilitéVerte #FausseÉcologie
Source:
Merci à Mickael pour cet source:
https://reporterre.net/Apres-le-dieselgate-nous-nous-dirigeons-tout-droit-vers-un-electric-gate
https://app.electricitymaps.com/zone/DE
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